Enfin, ça bouge dans le sud-ouest ! 25 mars 2019
Publié le : 30 mars 2019
Publié le : 30 mars 2019
Publié le : 25 mars 2019
Publié le :
Commentaire :
La coalition Mer – Rivière ( ADRM, SEPANSO, APQV, ACCOB et SALMO TIERRA – SALVA TIERRA ) interpelle et interroge le COGEPOMI Adour en session plénière – point « saumon »- à Bayonne le 22 mars 2019
Ce dossier est transmis le 21 mars à tous les membres du Cogepomi :
Publié le :
Commentaire :
Nous sommes, ici, bien loin de cette présentation parisienne « guerre de clochers » entre Béarnais et Basques :
Nous sommes sur une nécessaire protection de cette ressource fragile pillée illégalement sur le littoral et dans l’estuaire afin de développer un tourisme pêche sportive du saumon propice à la revitalisation de l’économie du Béarn des Gaves.
Alors, continuons d’en parler … et donc poursuivons nos actions …
Publié le :
Commentaire :
Le pillage illégal protégé par l’Etat peut continuer … complaisance, protection, corruption ? … mais au prix d’une colère qui gronde de plus en plus !
Plainte non-retenue, non-instruite … sur ordre du préfet au procureur … et maintenant audience de citation directe par 2 fois renvoyée et cette fois à 8 mois ! Cherchez l’erreur !
A travers la pêche sportive, c’est bien toutes les économies locales du Béarn des Gaves et du Pays de Béarn qui doivent, à nouveau, attendre …
Alors, que tous les élus n’attendent plus et se joignent en nombre au projet de manifestation du 22 avril !
Publié le : 18 mars 2019
Commentaire :
A nouveau, pourquoi n’indemnise t-on pas les pêcheurs professionnels de l’Adour pour une relève totale des filets ?
Publié le :
Commentaire :
Pas de « chance » ! à Pau, c’est bien plus cool !
2 régions – 2 mesures : c’est bien connu, dans les pyrénées-atlantiques, haut lieu de tous les pillages illégaux et braconnages réunis, il n’y a pas de prison ! et les amendes sont peanuts !
Cf. dans « dossier migrateurs/pibales-anguilles », publication du 2/12/2018 : « C’était au tribunal de Pau … »
Publié le : 16 mars 2019
Commentaire :
C’est le principe des filets communicants : moins de pêches déclarées et plus de pêches illégales … parce que ce sont, en grande partie, les mêmes !
Des professionnels et parfois même des élus dont il est question dans nos publications : Editorial 6 du 10/12/2017, dossiers migrateurs/pibales et anguilles des 9/02, 23/10 et 2/12/ 2018 …
Alors, oui, les questions de complaisance, de protection et de corruption se posent !